Bruce Bawer
– The City Journal, January 24, 2018
Avec une population de plus de
600 000 habitants, Oslo est divisée en deux par l’Akerselva, une petite
rivière qui court depuis les montagnes, dans le nord, jusqu’au fjord d’Oslo.
Oslo Ouest est la partie huppée de la ville, avec de coquettes rangées de maison
près du centre-ville et, plus loin, d’élégants arrondissements pleins de
grandes et belles demeures au vastes pelouses bien entretenues. L’Est d’Oslo
est bourgeois : à la limite du centre-ville vous trouvez des quartiers qui
ressemblent à l’East Village, avec des bars à la mode et plein de graffitis, et
quelques zones habitées essentiellement par des musulmans, Tøyen
et Grønland ;
plus à l’Est se trouve Groruddalen.
Une large vallée relativement
sans caractère (Dal signifie « vallée » en Norvégien), Groruddalen
abrite plus du quart de la population d’Oslo. Pensez à la San Fernando Valley
et vous serez assez près de la vérité. Depuis plusieurs décennies maintenant, cette
vallée à été associée à l’islam pour les Norvégiens. Le 28 août 2017, Rita
Karlsen du Human Right Service (HRS), un think-tank basé à Oslo, a fait
remarquer que cela faisait seize ans jour pour jour que Thorbjørn
Bersten, un homme politique membre du Parti Travailliste, avait déclaré :
« Il existe une limite au nombre d’immigrants que Groruddalen peut
accepter. Cette limite est en train d’être atteinte. Je connais des gens qui
veulent partir parce que la ville d’Oslo est en train de remplir des immeubles
entiers avec des réfugiés et des demandeurs d’asile… Nous devons simplement
admettre que les conflits culturels commencent à devenir visibles. »
D’autres hommes politiques récusèrent le diagnostic de Bersten. Bjørgulv
Froyn, qui était alors le chef du Parti Travailliste à Oslo, affirma que les
problèmes de Groruddalen n’avaient « rien à voir avec les immigrés ».
Le chef des conservateurs à Oslo, Per-Kristian Foss, abonda en ce sens,
accusant Bersten de « stigmatiser un quartier et une population. »
Foss, qui était ouvertement homosexuel, préféra ignorer le fait qu’il était
déjà difficile pour les homosexuels de vivre dans certaines parties de
Groruddalen.
L’avertissement de Bernsten,
lancé en 2001, s’est avéré prémonitoire. De 2008 à 2010, plus de 6000
Norvégiens de souche ont quitté Groruddalen, tandis que près du double
d’immigrants – essentiellement des musulmans – s’y sont installés. En 2009,
presque 67% des enfants nés à Stovner, un arrondissement à l’extrémité Est de
la vallée, avaient des mères non Occidentales. En 2010, les immigrants
représentaient plus de 40% de la population de Groruddalen, et Lars Østby,
le démographe en chef à la SBB, l’organisme officiel en charge des statistiques
nationales, prévoyait que, avant peu, une majorité de la population de la
vallée serait composée des immigrants et de leurs enfants. Østby,
cependant, ne considérait pas cela comme un problème – en dépit des précédents
sinistres de certaines zones urbaines dans la Suède voisine, tel que Rinkeby à
Stockholm et Rosengard à Malmö, devenues des enclaves musulmanes : des
sociétés parallèles où la sharia remplaçait la loi suédoise et où les chefs de
la communauté, les imams, et les gangs, avaient davantage d’autorité que le
gouvernement suédois, la police et les tribunaux.
En 2011, le journal Aftenposten a rompu le silence
médiatique sur le sujet en publiant un reportage sur la vie de Norvégiens de
souche habitant à Groruddalen. « C’est devenu difficile d’être un
Norvégien d’origine à Groruddalen » expliquait au journal Patrick Ǻserud,
un instituteur ayant vécu dans la vallée toute sa vie. « Il y a un gros
problème de langue, et une pression pour s’adapter à des normes qui nous
semblent totalement étrangères, à nous qui avons un style de vie et une
mentalité occidentales. » Ǻserud expliquait que, dans certaines écoles de
la vallée « des enfants sont menacés d’être battus parce qu’ils ont du
salami dans leur panier-repas. Des filles sont harcelées parce qu’elles sont
blondes, et se teignent les cheveux pour être acceptées. Ce n’est pas bien vu à
l’école d’être homosexuel, ou d’être athée, ou d’être juif… les gens attendent
d’une famille indienne que je connais qu’elle vive comme des musulmans parce
qu’ils ont la peau brune. » Sur dix-huit rencontres parents-professeurs
qu’Ǻserud avait tenu récemment, il avait été nécessaire de recourir dix fois à
un traducteur. Les conditions de vie dans la vallée s’étaient dégradées ces
trois dernières années, affirmait-il, et il avait décidé – à contre-cœur – de
décamper. « Je ne laisserai pas mes enfants grandir ici. » Le
journaliste du Aftenposten ayant suggéré
que qu’Ǻserud
était « hypersensible » et « déconnecté de la nouvelle
Norvège », l’instituteur avait répliqué qu’en ce cas, il y avait beaucoup
de Norvégiens de souche à Groruddalen qui ressentaient la même chose.
Deux ans plus tard, en 2013, un
rapport remarquablement honnête de la SBB reconnaissait que 1000 Norvégiens de
souche quittaient Groruddalen tous les ans, et étaient remplacés par un nombre
égal d’immigrés non-occidentaux. Durant cette seule année, les agressions
augmentèrent de 80% à Groruddalen. La grande majorité de leurs auteurs étaient
des adolescents d’origine immigrée avec des prénoms musulmans ; pratiquement
aucun de leurs parents ne prirent la peine de venir à leurs procès. (Un père,
cependant, fit quelque chose : il essaya d’intimider des victimes
d’agression pour qu’elles modifient leurs témoignages.) Malgré cela, la police
et les hommes politiques continuaient à affirmer que tout allait bien à
Groruddalen. Ils mettaient en avant des statistiques de crimes autres que les
agressions, qui, superficiellement, semblaient leur donner raison. Mais
beaucoup de crimes dans la vallée – et peut-être même la plupart – n’étaient
pas rapportés aux autorités. Les musulmans victimes d’autres musulmans
n’étaient pas assez stupides pour avertir la police : leurs familles,
leurs imans, et les autres membres de la communauté musulmane les auraient
considérés comme des traitres, et auraient agis en conséquence. Ils savaient
que de telles affaires devaient se régler à l’intérieur de la communauté.
Beaucoup de victimes non musulmanes craignaient également de se plaindre à la
police, car elles savaient qu’elles risquaient de la part de leurs voisins
immigrés des représailles auprès desquelles le crime initial aurait fait pâle
figure.
En 2015, le sociologue Halvor
Fosli publia Fremmed i eget land
(« Un étranger dans son propre pays »), un livre basé sur des
entretiens réalisés avec 20 Norvégiens de souche résidant à Groruddalen. Fosti
avait délibérément choisi des gens impliqués à un certain degré dans leur communauté
– ceux qui avaient des enfants à l’école, par exemple, ou bien qui siégeaient
au conseil de leur coopérative. Quel effet cela faisait-il, leur demandait
Fosti, de devenir minoritaire sur son propre sol ? Leurs réponses étaient
perturbantes. Les garçons non musulmans dans les écoles secondaires avaient
peur de tomber dans la ligne de mire des bandes de musulmans – mais ils ne
savaient pas vraiment ce qu’ils devaient éviter de dire ou de faire, car leurs
condisciples musulmans jugeaient leur conduite selon des critères entièrement
étrangers à la société norvégienne. Pour les filles et les femmes non
musulmanes, le simple fait de sortir de chez elles toutes seules – pour aller
au supermarché par exemple – leur valait des regards courroucés de la part de
musulmans à longues barbes, qui considéraient qu’elles ne devraient pas quitter
leur foyer sans être accompagnées par un homme et sans être voilées. La vie
était particulièrement dure pour les juifs. Les homosexuels ? Même pas la
peine d’y penser. Autrement dit, un endroit dans lequel les gens avaient
autrefois vécu sans peur et se traitaient mutuellement avec respect et
bienveillance était devenu un lieu où fermentait la tension, la peur, et l’intolérance
– non pas l’intolérance contre les musulmans, mais l’intolérance contre les
Norvégiens.
Le livre de Fosli déclencha une
prévisible avalanche de condamnations dans les grands médias norvégiens. Les
adeptes du multiculturalisme vivant à Groruddalen traitèrent Fosli de menteur.
Dans un article publié dans le Aftenposten
intitulé « Non, je ne suis pas une étrangère dans mon propre pays »,
Inger Sønderland
expliquait comment elle s’était installée dans la vallée trois ans plus tôt et
s’était sentie immédiatement la bienvenue. « Je me suis sentie chez moi
ici ! », écrivait-elle. « Dans cet environnement où nous sommes
tous si différents, je me sens libre. Je peux me laisser aller, être moi-même…
j’aime ce mélange de peuples. » Øyvind Holen, qui avait travaillé pour
la plupart des grands journaux norvégiens, écrit plusieurs livres sur le
hip-hop, et publié son propre livre sur Groruddalen dix ans plus tôt, pris part
à la controverse, accusant dans le Dagbladet
Fosti et ses interviewés d’être « obsédés par l’islam » et de s’être
lancé dans une « attaque monomaniaque contre les minorités pakistanaises
et somaliennes. » Avec un peu de soutien de la part de médias, le livre de
Fosli aurait pu forcer la main des hommes politiques, de la police, et des
fonctionnaires en charge de l’immigration ; au lieu de cela, la puissante
charge des médias pour le discréditer assura que le livre n’eut aucun impact
sur la politique locale ou nationale. La vie continua comme avant : en
2016, les chefs d’établissements scolaires furent avertis de presque 2000 cas
de violence contre des enseignants à Oslo, mais ils ne prévinrent la police
dans aucun. En janvier 2017, un rapport affirma que la criminalité juvénile
avait dramatiquement augmenté à Groruddalen.
En février 2017, Forskning.no –
un site internet prétendant fournir des informations fiables concernant la
science et la recherche partout dans le monde – affirma que, selon un nouveau
rapport du NOVA, un institut de recherche norvégien, la plupart des jeunes gens
à Groruddalen se portaient très bien. « Ils réussissent à l’école, ont de bonnes
relations avec leurs parents, sont satisfaits de l’environnement dans lequel
ils vivent, et boivent moins d’alcool que les autres jeunes à Oslo. » Mais
lorsque Nina Hjerpset-Østlie, du HRS, examina le rapport du NOVA, elle découvrit
qu’il traitait principalement des garçons musulmans, pour la plupart desquels,
en effet, la vallée était un véritable parc de loisirs. Le rapport du NOVA
indiquait clairement que, pour les filles musulmanes et pour les non-musulmans
des deux sexes, la vie à Groruddalen était loin d’être aussi paradisiaque. Ils
se sentaient en insécurité à cause du comportement agressif, prédateur, de
nombre de ces jeunes musulmans heureux et épanouis. Un jeune sur cinq dans la
vallée – essentiellement des garçons non musulmans – avait fait l’objet de
violence ou de menace de violence. Les filles musulmanes étaient moins sujettes
à cette violence, du moins à l’extérieur de leur foyer – sans doute, comme le
suggérait Hjerpset-Østlie, parce qu’elles avaient moins d’occasion d’y être
exposées, étant donné que leur accès au monde extérieur était étroitement
contrôlé et supervisé par leurs familles, en accord avec le code de l’honneur
musulman.
Le 11 mars 2017, à la surprise de
nombreux téléspectateurs, le journal du soir sur la chaine gouvernementale NRK
diffusa un reportage honnête sur l’augmentation énorme de la criminalité dans
l’est d’Oslo, avec l’accent mis tout particulièrement sur Groruddalen – où,
comme le racontait le journaliste Anders Magnus, environ 50% de la population
avait désormais des origines immigrées non occidentales. Des jeunes de douze
ans vendaient de la drogue ; des adolescents de quinze ans portaient des
pistolets, des couteaux et des battes de base-ball ; des bandes de jeunes
musulmans agressaient les adultes en pleine rue ; et les parents
musulmans, à quelques exceptions près, se montraient totalement indifférents
aux activités criminelles de leurs fils. Pendant ce temps, conformément à une
vieille tradition norvégienne, les policiers continuaient à patrouiller sans
armes. Magnus interviewait un entraineur de hockey qui expliquait que certains
joueurs de son équipe étaient partis parce qu’ils avaient peur de se faire
agresser en se rendant à l’entrainement. Un jeune homme du coin expliquait que,
dans la vallée, les musulmans avaient formé une « société parallèle »,
dans laquelle les jeunes n’avaient simplement plus peur de la police. Fidèle à
lui-même, le journal Aftenposten
publia une réplique rageuse au reportage d’Anders Magnus : Øystein
E. Søreide
et Mobashar Banaras, deux hommes politiques locaux, accusèrent NRK de
« stigmatiser » les gens de la vallée et d’accroitre les divisions
entre « eux » et « nous ».
Et puis, en mai, des douzaines
d’adolescents musulmans se livrèrent à des exactions pendant trois nuits
consécutives à Vestli, à l’extrémité Est de Groruddalen, lançant des pierres, allumant
des incendies, attaquant les passants au couteau. Seuls trois des voyous furent
arrêtés, et rapidement relâchés. Il devenait de plus en en plus difficile de
nier la réalité au sujet de Groruddalen – et cependant, comme l’écrivait Rita
Karlsen, du HRS, même maintenant les grands médias et les porte-paroles de la
police continuaient à étouffer les affaires et à nier farouchement qu’une
situation « à la suédoise » se soit créé dans la vallée – à savoir
une criminalité incontrôlable et l’abandon de l’autorité publique aux leaders
de la communauté musulmane. Mais le HRS avait ses propres sources dans la
police, et celles-ci reconnaissaient la gravité de la situation. En très grand
nombre, les jeunes musulmans menaçaient les enseignants, les agents de
sécurité, les commerçants, les policiers, les pompiers, les ambulanciers, et
d’autres encore. De plus en plus d’incendies criminels étaient allumés, comme
dans les banlieues de Stockholm et de Paris.
Les efforts de la police pour
reprendre le contrôle de Groruddalen ces dernières années ont été un échec.
L’un des problèmes est la difficulté d’obtenir pour la police la permission de
porter des armes – un changement de pratique auquel s’opposent vigoureusement
les politiciens et les journalistes norvégiens. Une autre difficulté est
l’incapacité des responsables de la police à admettre la réalité de la
situation dans la vallée (Ils n’ont certainement pas été heureux d’entendre un policier
travaillant à Stovner admettre, dans une interview radiophonique, que les
policiers évitaient certaines parties de Groruddalen, par peur et parce qu’ils
avaient le sentiment qu’il était « impensable » pour eux de pénétrer
là-bas.) Mais le problème fondamental demeure l’approche scandinave
traditionnelle du crime : rechercher des causes profondes, traiter les
délinquants comme des victimes de la société, et considérer que la compassion
est un remède à la criminalité. Cette approche fonctionne peut-être avec
quelques Norvégiens de souche qui se sont écartés du droit chemin, mais elle ne
produit aucun résultat avec leurs homologues musulmans, dont le conditionnement
culturel les conduit à considérer ce genre de traitement bénin comme une preuve
de faiblesse – et à l’exploiter.
Août marqua le début d’une
nouvelle année scolaire. Le 28 septembre, VG,
un journal norvégien, rapporta que depuis le début de celle-ci, il s’était
produit tellement d’incidents violents au lycée de Stovner – dont l’un à coups
de hache et de barre à mine – que le principal, Terje Wold, déclarait ne plus
pouvoir garantir la sécurité des enseignants et des élèves. En réponse le
ministre de l’éducation, Henrik Asehim, convoqua une réunion d’urgence ;
des agents de police furent bientôt postés journellement devant
l’établissement. VG remarquait que
Stovner était loin d’être un cas isolé : la violence avait augmenté
également dans les autres établissements scolaires de Groruddalen depuis
quelques années, provoquant l’apparition de ce que les Norvégiens appellent
« ukultur », littéralement une « in-culture », violente,
anarchique et sauvage.
Et les choses continuent ainsi. Les
musulmans continuent à se déverser dans Groruddalen, et les Norvégiens
d’origine continuent à en partir. Le taux de fécondité des musulmans écrase
celui des Norvégiens de souche. Dans certaines classes, seuls un ou deux
enfants savent parler le Norvégien. Les rapports sur le site du HRS et de Document.no
(qui traite des questions relatives à l’islam avec une franchise que l’on
trouve rarement dans les grands médias) montrent clairement que la violence
augmente dans la vallée et s’intensifie, avec toujours plus d’affrontements
entre gangs et de voitures brûlées comme à Paris. On a rapporté que des
Norvégiens de souche avaient formé des sortes de milices pour patrouiller leur
voisinage et le protéger. Si Groruddalen n’est pas encore une zone interdite,
du type de Rinkeby ou Rosengard, elle s’en rapproche bigrement. D’ici peu il
sera possible de la décrire sans exagération comme une principauté islamique à
l’intérieur d’une république laïque. Et cependant, les journalistes et les
hommes politiques continuent à décrire Groruddalen comme un paradis
d’intégration et d’enrichissement multiculturel.
En août 2017, Hege Storhaug, du
HRS, remarqua une affiche publicitaire pour une nouvelle librairie à Stovner.
Elle montrait trois jeunes filles à la peau noire, dont deux portant un hijab,
lisant gaiement ensemble. « Le futur est là », commenta Storhaug. Thorbjørn
Berntsen l’avait vu arriver 16 ans plus tôt. D’autres l’avaient vu aussi, mais
la plupart n’avaient rien dit. Et même maintenant, alors que Groruddalen
s’enfonce dans l’anarchie et l’islamisation complète, peu nombreux sont ceux
qui osent parler. Pendant ce temps, au-delà des collines et des montagnes qui
entourent Groruddalen, l’ombre qui est descendue sur la vallée obscurcit peu à
peu le reste de la Norvège.
Le nom de Thorbjørn Berntsen a été un peu écorché.
RépondreSupprimerUn peu désespérant tout cela. Merci de l'article.
RépondreSupprimerÇa fait froid dans le dos...
RépondreSupprimerL'Europe se suicide.
La marée monte.
RépondreSupprimerLa Norvège, c'est foutu, les gauchos vous répondront toujours "Breivik, Breivik..." et vous diront que la violence vient de l'extrême drouuuuuate....On aurait pu faire cet article pour n'importe quelle ville européenne de plus d'un million d'habitants: Paris, Londres, Berlin, Bruxelles...Milan, Rome...
RépondreSupprimerÇa me fait toujours marrer les flics qui ne sont pas armés, j'ai envie leur dire back to basics "État: monopole de la violence légitime..."
Il fut un temps où les agents n'avaient pas besoin d'être armés, et pas seulement en Norvège. Mais ce temps est révolu.
SupprimerEt pourtant la Norvège est prise en exemple par la clique qui prétend nous diriger. C'est cela être en marche.
RépondreSupprimerLe modèle scandinave...
Supprimeril faut quand meme que leurs pays d'origine soient merdiques pour qu'ils aillent s'enterrer si loin de chez eux et surtout dans des pays au climat si pourri (l'autre disait y pas que la misère est moins pénible au soleil, or ses pays sont ceux qui en ont le moins sans oublier les températures polaires 4 mois par an)
RépondreSupprimerÇa leur apprendra à ces fdp de norvégiens d'avoir colonisé la moitié du monde musulman... vengeaaaaance !!!
RépondreSupprimerParfaitement! 'culés !
Supprimerça leur apprendra d'avoir découvert l'amérique en lieu et place des brillants marins et navigateurs musulmans
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